A la danseuse la mort fertile, au catcheur la vie stérile. Précisément parce que la danseuse a réussi là où le catcheur avait échoué, Aronofsky a manqué Black Swan comme il avait réussi The Wrestler. Avec la danse, plus question d'assumer le chiqué, plus question de se jouer de l'enclos du ring pour ramener le héros au constat de sa spectaculaire finitude. La finitude n'est plus de ce monde où la "perfection" est érigée en mot de la fin, sous un tonnerre d'applaudissements.
Peu de mots mais bien choisis !
RépondreSupprimerOn compense comme on peut quand on a pas le temps...
RépondreSupprimerJ'ai pas (encore) vu le film, mais en tt cas, j'aime bcp le titre du post.
RépondreSupprimerj'aurais presque aimé voir le film avant pour pouvoir avoir eu l'occasion de le trouver (le titre...).
Voila, convaincu d'avoir laissé un commentaire capital dans l'histoire de ce blogue, je retourne satisfait à mes occupations (encore à déterminer...)
Il faut se les avaler les signes -symptomes et les cygnes polychromes
RépondreSupprimerLe succès signe t il une fracture de générations...La facture en tout cas en est bien grossière... que ce soit Natalie ou le prince pas de quoi en faire un fromage...
"Précisément parce que la danseuse a réussi là où le catcheur avait échoué, Aronofsky a manqué Black Swan comme il avait réussi The Wrestler."
RépondreSupprimer@Yoye2000, en effet, vous avez vu la taille de l'article: j'ai tout misé sur le titre!
RépondreSupprimer@laurence: bien d'accord, plus j'y pense et moins j'ai aimé ce film.