tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post8755283745018424368..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: Langue de cheval - War horse, de Steven SpielbergTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-41743186352431140592012-03-26T11:43:08.309+02:002012-03-26T11:43:08.309+02:00Bonjour,
Nous sommes l’agence de communication de...Bonjour,<br /><br />Nous sommes l’agence de communication de Sony Pictures Home Entertainment.<br /><br />Nous voulions savoir si vous seriez intéressé pour recevoir et chroniquer de temps en temps des sorties DVD.<br /><br />N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.<br /><br />Pauline & Marie-Anne<br />01 55 74 70 29 / 01 55 74 70 17Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-86665918765667552522012-03-12T17:56:20.133+01:002012-03-12T17:56:20.133+01:00Cher Edmond, merci pour ce commentaire.
Une préci...Cher Edmond, merci pour ce commentaire.<br /><br />Une précision sur la langue : habituellement, le fait que tout le monde parle anglais dans un film américain ne me choque pas plus que ça - c'est plus ou moins dans la nature du film américain. Et comme tu dis ça s'inscrit dans une certaine tradition de ce cinéma américain classique. <br /><br />Mais dans ce cas précis, le langage (différence entre l'homme et l'animal) et la langue (différence entre un Anglais, un Français et un Allemand) m'ont semblé être les points centraux du film. Ce qui me pousse à dire que sur ce point, Spielberg a reculé devant l'obstacle, passant sur la difficulté d'établir le contact avec un animal, ou sur la difficulté de se comprendre entre pays différents (difficulté dont la guerre aurait pu être l'illustration). Et je ne crois même pas que cette facilité soit le fait d'un cinéma à l'ancienne : c'est à mon avis de ce genre d'obstacles, de moments dramatiques décisifs, que sont faits les meilleurs films hollywoodiens classiques (je pense par exemple à Sergent York de Hawks, au scénario finalement assez similaire : http://fenetressurcour.blogspot.com/2009/05/sergeant-york-de-howard-hawks-voyage-au.html ).<br /><br />Quant au perso "coquille vide", je suis entièrement d'accord. Et mettons alors que Tintin en est la version réussie, et Joey la version un peu ratée...T.G.http://fenetressurcour.blogspot.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-51203048646094179542012-03-06T21:34:43.146+01:002012-03-06T21:34:43.146+01:00Allez, ce coup-ci, je laisse un commentaire puisqu...Allez, ce coup-ci, je laisse un commentaire puisque je n'ai pas besoin de m'inscrire pour le faire...<br /><br />Outre la remarque sur le moulin, déjà développée dans ma propre contribution sur ce film, je voudrais revenir sur la langue. Il me semble en effet que cet effet participe en fait complètement à la recherche esthétique "à l'ancienne" du film. On suit une fresque comme autrefois, sans avoir à s’embarrasser de personnages qui ne parlent pas la même langue. Mais c'est volontaire, et même appuyé.<br />Alors oui, aujourd'hui ça nous semble dépassé, anachronique... mais ça nous ramène tout simplement à ce qu'est "Cheval de guerre" : un long métrage anachronique.<br /><br />Un autre élément qu'il serait intéressant de creuser (ce que je n'ai pas fait, d'ailleurs), c'est le choix d'un personnage principal qui n'est qu'une coquille vide pour mieux braquer l'attention sur les personnages secondaires et le fil du récit. C'était déjà flagrant dans Tintin, Spielberg nous refait le coup ici (et en plus, son dernier Indiana Jones avait déjà perdu pas mal de relief)... Faut-il y voir une grande tendance naissante dans son cinéma ? L'avenir nous le dira, sans doute.Edmond Prochainhttp://www.edmondprochain.fr/noreply@blogger.com