tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post403243385122187914..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: The informant, de Steven SoderberghTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-82754155685139835282009-11-27T15:07:55.489+01:002009-11-27T15:07:55.489+01:00Personellement, le film m'a plu jusqu'à la...Personellement, le film m'a plu jusqu'à la révélation des différents mensonges du personnage de Matt Damon. Alors oui, il est vrai que nous n'étions que deux dans la salle à éclater de rire assez régulièrement mais la première partie du film m'a tout de même semblé assez comique. Et puis après, le film à viré de bord et c'est devenu une mixture triste et affligeante qui ne faisait pas rire du tout. La trame des mensonges rend un personnage au départ attachant haïssable et finalement, on s'y perd un peu. Bof, bof donc.Jacksam4evahttp://www.on-my-screen-tonight.blogspot.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-68028991121566723532009-10-05T12:46:39.813+02:002009-10-05T12:46:39.813+02:00D'accord avec vous, particulièrement sur les d...D'accord avec vous, particulièrement sur les derniers moments du film.Timotheehttps://www.blogger.com/profile/09595147004853532537noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-48586638321081623592009-10-05T11:18:21.490+02:002009-10-05T11:18:21.490+02:00On est restés un peu mitigés sur ce film : pas vra...On est restés un peu mitigés sur ce film : pas vraiment accrochés et tenus à l'écart, un peu ennuyés, par la distance que mettait Soderbergh entre nous et l'écran. Il est vrai que le personnage de Matt Damon n'est pas très sympathique, du moins au début.<br />Et puis Soderbergh filme tout cela façon années 70 (alors que l'histoire a moins de quinze ans) ce qui accentue encore le recul.<br />Reste les dernières vingt minutes avec notamment une scène époustouflante où Matt Damon est enfin confondu de l'un de ses bobards (une erreur de date de quelques jours sur un faux courrier) et où ses voix intérieures viennent lui souffler les nouveaux mensonges à empiler, à enfiler, pour se tirer de ce mauvais pas : il s'enfonce encore plus loin dans ses bobards, sa femme se met à pleurer à ses côtés, l'enquêteur du FBI ne sait plus où se mettre ...BMRhttp://bmr-mam.over-blog.comnoreply@blogger.com