tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post2510569928050556178..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: Sam Peckinpah, La Horde sauvage - la violence, ce jeu d'enfantTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-58116312869599961532009-08-24T23:52:36.771+02:002009-08-24T23:52:36.771+02:00Il y a aussi le jeune russe recueilli par le group...Il y a aussi le jeune russe recueilli par le groupe de Coburn-Steiner. <br />Les enfants, c'est un motif important chez Peckinpah. Ils sont là comme témoins mais aussi comme imitateurs précoces de la violence des adultes (Dans le magnifique "Pat Garrett et Billy the Kid"). Dans "La horde...", les héros se voient porter le coup fatal par un femme et un enfant.Vincenthttp://inisfree.hautetfort.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-10895490275360202212009-08-15T13:43:39.358+02:002009-08-15T13:43:39.358+02:00Alors très bonne vision du magnifique Croix de fer...Alors très bonne vision du magnifique Croix de fer avec James Coburn, où la créature en devenir est dans le générique tétanisant : des enfants des Jeunesses hitleriennes. Le désir de croissance, et la barbarie qui va en découler.<br /><br />Rom.Romhttps://www.blogger.com/profile/01382624384195220863noreply@blogger.com