tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post8847210815474097902..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: Une nouvelle enfance du regardTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-8285091126981987622011-09-13T10:11:21.138+02:002011-09-13T10:11:21.138+02:00Merci Benjamin pour ce commentaire. Ce qui m'a...Merci Benjamin pour ce commentaire. Ce qui m'avait frappé en fait était la concomitance de ces trois films, et cette fraîcheur commune, quoique les films soient très différents.<br /><br />Bien sûr que ce serait à élargir, peut-être à une réflexion générale sur l'émerveillement au cinéma.<br /><br />Pour ce qui est de Shyamalan, à la réflexion, je pense à Incassable. Si ma mémoire est bonne, c'est sous le regard de son fils que le personnage de Bruce Willis se découvre lui-même. Mais au-delà de ça, il me semble que Shyamalan, par exemple dans Signes, c'est surtout la famille, la communauté (j'ai ce souvenir d'une scène autour d'une voiture, mais que je ne saurais décrire précisément).<br /><br />Bref, cet article ne demande qu'à être élargi et enrichi!T.G.http://fenetressurcour.blogspot.comnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-45321904823447633872011-09-09T23:21:37.485+02:002011-09-09T23:21:37.485+02:00Cette note m'enthousiasme vraiment. Beaux rapp...Cette note m'enthousiasme vraiment. Beaux rapprochements.<br /><br />Alors que par comparaison, je me posais la question de la disparition de la mère dans Super 8, comme dans la Guerre des mondes (Spielberg justifie le rapprochement), et dans Signes (le film de Spielberg n'est pour moi qu'une variante de celui de Shyamalan), le regard des enfants en tant que dénominateur commun chez Malick, les Coen et Abrams m'avait échappé. Mais justement puisque tu loues le retour de la narration en tant qu'art et plaisir, pourquoi ne pas inclure dans une perspective plus large Spielberg et Shyamalan ? Je sais, ce dernier ne fait pas l'unanimité...<br /><br />Le deuil comme point de départ aux trois films que tu retiens est aussi un détail troublant.<br /><br />Quant au devenir des enfants... Une pensée pleine d'amour chez Malick (le souvenir de Sean Penn), une enfant qui n'en était pas tout à fait une au début de True grit et qui en aura définitivement perdu tout caractère en bout de récit... Il n'y a que chez Abrams où les enfants retrouvent leur père et demeurent enfants, encore que le super-8 du générique les évoquerait déjà presque comme un vieux souvenir...Benjaminhttp://www.kinopitheque.net/super-8/noreply@blogger.com