tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post5603159333110061976..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: Inception, ou l'anti-musicalTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-7273837086476973112023-08-15T08:42:05.260+02:002023-08-15T08:42:05.260+02:00Appreciate this blog posstAppreciate this blog posstconfesiones anorexicas bulimicas locas y enamoradashttps://confesionesanorexicasylocas.blogspot.com/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-9513540185955451012015-07-10T12:01:36.360+02:002015-07-10T12:01:36.360+02:00J'ai vu hier soir Lucy de Besson et il y a une...J'ai vu hier soir Lucy de Besson et il y a une scène qui la voit se déplacer sur tous les murs de sa cellule, jusqu'à aller se blottir recroquevillée au plafond. Parfait contre-exemple à tout ce qui a été dit précédemment, Lucy n'est pas toute excitée par l'amour mais seulement droguée, pas de légèreté ici mais seulement la lourdeur extrême du cinéma de Besson. (en écrivant là, il me vient pas mal d'autres références, je crois que je vais lancer une nouvelle rubrique sur mon blog, faite de personnages au mur et au plafond !)Benjaminhttp://www.kinopitheque.net/noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-63115197320244197372015-07-08T14:31:55.889+02:002015-07-08T14:31:55.889+02:00J'adore ! Et je crois que c'est déjà chez ...J'adore ! Et je crois que c'est déjà chez toi que je découvrais et adorais ce rapprochement entre Smooth criminal de Jackson et le Girl hunt ballet d'Astaire. (au passage ton lien vers Girl hunt est mort)<br /><br />Je vais essayer quelque chose. Dans Interstellar c'est l'amour qui permet de transcender le temps et l'espace. Mais dans Interstellar, contrairement à Inception, le cadre saute : on est dans l'espace. Un espace que subissent les personnages et qui leur en impose. Je tente un parallèle et trouve immédiatement deux autres images : une sur laquelle bloque ma fille actuellement, Taeko est amoureuse (deux mots échangés avec son copain), on la voit s'éloigner sur la route puis s'élever et voler dans un ciel rose et bleu (Omohide pororo de Takahata), l'autre c'est cette scène entre Woody Allen et Goldie Hawn sur les bords de Seine, ils dansent sur un air de I'm through with love et l'actrice perd pied (d'amour) et s'élève dans les airs. Hors les cadres (ni en appartement ni en hôtel, on est en extérieur), la vibration amoureuse permet l'affranchissement de toute pesanteur. Mouvement intérieur chez Takahata et Allen, la légèreté est trouvée dans le plan. Mouvement plus extérieur chez Nolan, l'affranchissement n'est trouvé (paradoxalement) que dans un dédale de plans et de scènes.<br /><br />Benjaminhttps://www.blogger.com/profile/16010757582592272731noreply@blogger.com