tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post4527757199017275771..comments2024-01-22T07:49:40.034+01:00Comments on Fenêtres sur cour: Celui par qui les choses s'accomplissentTimotheehttp://www.blogger.com/profile/07012687720305046525noreply@blogger.comBlogger4125tag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-12167358547647275672022-04-28T04:45:17.532+02:002022-04-28T04:45:17.532+02:00votre article est intéressant, mais il laisse de c...votre article est intéressant, mais il laisse de côté le message idéologique non politiquement correct du film : un vieil homme qui voit son pays partir en vrille sous l'effet d'une décadence interne (ses propres enfants et petits-enfants) qui entraine une immigration de "barbares" accélérant elle-même cette décadence (ses voisins hmongs), décide de prendre les choses en main en prenant sous son aile un de ces barbares asiatiques, en le soustrayant à l'influence des femmes qui dirigent sa famille pour lui enseigner les vraies valeurs viriles. Quand à la communauté afro-américaine, elle est "exécutée" lors d'une scène de quelques minutes. <br /><br />Le message final de ce film est que, si les Etats-Unis doivent survivre, ce sera en faisant assimiler de force les nouveaux venus par les immigrants européens plus anciens, que cette assimilation doit se faire d'homme à homme, sans tenir compte des femmes. Et que les Noirs sont définitivement inaccessibles à cette transmission.<br /><br />Les critiques ont préféré bien sûr ne pas voir ce qui pourtant crève les yeux, car, comme vous le rappelez, Eastwood n'a pas l'habitude d'y aller par quatre chemins pour dire dire ce qu'il a à dire. warochhttps://www.blogger.com/profile/03251237222913868125noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-20313855896472098132011-09-01T18:10:06.420+02:002011-09-01T18:10:06.420+02:00Merci pour ton passage, Vittorio, et pour tes comm...Merci pour ton passage, Vittorio, et pour tes commentaires. A mon sens, Eastwood assume de belle façon son éternelle personnage de Dirty Harry. A la fois en le rabougrissant à l'extrême, jusqu'à en faire une caricature ridée, puis en l'ouvrant à autre chose, à une salutaire transmission.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-73708755967417697472011-08-24T20:22:07.372+02:002011-08-24T20:22:07.372+02:00Bravo pour le blog et la qualité critique des arti...Bravo pour le blog et la qualité critique des articles que l'on y trouve !!<br /><br />J'ai vue hier ce film et je ne l'ai apprécié que pour ça première moitié. Elle m'a parue pleine de ligne claire, de facture classique, linéaire avec de l'intention et des idées, ce qui manque parfois cruellement au cinéma Américain, qui délaisse ces éléments de basse pour l'esthétique.<br />Ce qui m'a déplu et pris au dépourvue et cette idéologie que transmet par la suite de façon inexorable le reste du film, et qui peut laisser à désirer, les valeurs transmise à la fois aux autres protagonistes tout comme aux spectateur du film, hérité du passé et semblant n'être que en vase clos. Pour cela Eastwood à néanmoins beaucoup de maitrise de son sujet et réfléchie à son image et celle de son pays. Mais on ne trouve pas de contre poids pour adoucir les idées du personnage principal, tous les autres acteurs ont une place de faire valoir, même les deux enfants du voisin, qui servent à que Walt Kowalski pour agir toujours en exemple auprès d'eux. Il transmet ainsi une façon de faire qui est bonne à la base, mais gâché par un aspect de pureté quasiment religieuse ou l'être humain pour s'accomplir doit ne peut ressembler qu'à un stéréotype, soit celui du travailleur bougon qu'il à toujours connue et issue du rêve Américain qui ignore les individualités ou celui de la racaille issue des minorités. Il ne semble pas y avoir d'autre choix dans ce film, le reste ne compte pas.<br />On ne peut évidement pas comprendre la réalité Américaine des banlieue pavillonnaire livrés à elle même dans le middle west américain, mais le portrait est légèrement simpliste, voir stéréotypée par moment. Concernant le temps par exemple, Les jeunes n'étudient pas ou passent des vacances scolaires éternelle par exemple, ou tous ce passe les weekends on dirait.<br /><br />Je pense aussi que dans le cercle dont il fait partie des réalisateurs auteurs Cannois ( avec Almodovar, Allen, Von Trier, ...) il n'y à plus d'esprit critique, ils font des bons films, c'est indéniable. le savoir faire est la et bien présent, c'est pourquoi ils reviennent, mais n'évoluant pas dans leurs positions, ce qui peut laisser à désirer parfois.Vittorio Chopiekhttps://www.blogger.com/profile/04886268954843640924noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6454321054239840944.post-12054344381972073892009-03-05T19:17:00.000+01:002009-03-05T19:17:00.000+01:00Bien vu les deux aveux à travers les deux grilles ...Bien vu les deux aveux à travers les deux grilles !Anonymousnoreply@blogger.com